Tresse : "Ma vie ...
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Tresse : "Ma vie ...
... enfin le peut que vous n'en n'avez pas connu."
Et elle est bien modeste dans sa banalité vous en conviendrez.
P.S : Stef étant absent à plusieurs partie faire un récit seras difficilement réalisable, mais le coté écris me plaisais bien, je me lance donc en premier lieu dans une petite bio, puis pourquoi pas dans un journal des ses hautes pensées philosophiques.
Et elle est bien modeste dans sa banalité vous en conviendrez.
P.S : Stef étant absent à plusieurs partie faire un récit seras difficilement réalisable, mais le coté écris me plaisais bien, je me lance donc en premier lieu dans une petite bio, puis pourquoi pas dans un journal des ses hautes pensées philosophiques.
Dernière édition par Criss le Sam 27 Nov 2010 - 4:06, édité 4 fois
Criss- Nombre de messages : 416
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Date d'inscription : 26/08/2006
Re: Tresse : "Ma vie ...
On me nomme « Tresse », je suis le 3éme fils d’une vielle famille noble tombé dans la disgrâce, puis dans le commerce (une infamie encore plus grande selon moi), pour un total de 9 enfants (oui oui sa fait 6 sœurs …).
Nous quittâmes la ville d’origine de notre lignée pour fuir la guerre, les vendettas etc. etc. lors de ma tendre enfance, qui n’eu rien de rose, à vivre sur les routes, délaissé par mes frères et rangé au niveau de mes sœurs par mes parents. Je n’avais rien d’un jeune garçon modèle, mes frères me snobaient et mes sœurs me prirent vite pour un jeu et un magnifique terrain d’essai pour les coiffures les plus exotique qu’elles imaginaient (d’où mon surnom), je n’ai pas vraiment eu de modèle masculin dans ma petite enfance en dehors des quelques amants de mes sœurs assez éveiller pour s’apercevoir de ma présence.
La vie de bohême étant ce qu’elle est mon père mourra de longue fièvre attrapé peut après que son fils aîné trouva la mort lors d’une rixe a l’origine douteuse dans un village sordide. Manni le 2éme fils eu alors une révélation et une poussé de courage flamboyante en s’enfuyant avec une fille de ferme qui le croyait éperdument riche (la pauvre bougresse à du vite déchanté en s’apercevant de l’étendu abyssale de ses finances).
Avec la mort de ce qui me servait de père et d’aîné, je restais donc le seul « mâle » de la famille, âgé de 9 ans et je pris mes responsabilité si j’ose dire, j’aidai mes grandes sœurs et ma mère à nous conduire jusqu'à un vieux monastère perché sur une montagne encore plus perdu que la virginité de mes sœurs.
Nous quittâmes la ville d’origine de notre lignée pour fuir la guerre, les vendettas etc. etc. lors de ma tendre enfance, qui n’eu rien de rose, à vivre sur les routes, délaissé par mes frères et rangé au niveau de mes sœurs par mes parents. Je n’avais rien d’un jeune garçon modèle, mes frères me snobaient et mes sœurs me prirent vite pour un jeu et un magnifique terrain d’essai pour les coiffures les plus exotique qu’elles imaginaient (d’où mon surnom), je n’ai pas vraiment eu de modèle masculin dans ma petite enfance en dehors des quelques amants de mes sœurs assez éveiller pour s’apercevoir de ma présence.
La vie de bohême étant ce qu’elle est mon père mourra de longue fièvre attrapé peut après que son fils aîné trouva la mort lors d’une rixe a l’origine douteuse dans un village sordide. Manni le 2éme fils eu alors une révélation et une poussé de courage flamboyante en s’enfuyant avec une fille de ferme qui le croyait éperdument riche (la pauvre bougresse à du vite déchanté en s’apercevant de l’étendu abyssale de ses finances).
Avec la mort de ce qui me servait de père et d’aîné, je restais donc le seul « mâle » de la famille, âgé de 9 ans et je pris mes responsabilité si j’ose dire, j’aidai mes grandes sœurs et ma mère à nous conduire jusqu'à un vieux monastère perché sur une montagne encore plus perdu que la virginité de mes sœurs.
Dernière édition par Criss le Sam 27 Nov 2010 - 4:01, édité 2 fois
Criss- Nombre de messages : 416
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Date d'inscription : 26/08/2006
Re: Tresse : "Ma vie ...
Là bas nous trouvâmes un refuge et un foyer en échange de menus travaux, notre famille s’intégra comme elle pus, et avec mes plus jeunes sœurs (celles qui étaient encore « sauvable » selon les dires de Frères Rance) nous reçurent une éducation des moines.
J’aimais le calme de ce lieu et je pris la voie que me tracèrent les moines, à dire vrai je n’en avais pas vraiment d’autre à choisir, je les rejoignis. Je fis mes vœux sous un pal soleil d’hiver, je crois que la sérénité de ce jour sera gravée dans ma mémoire. Eternellement. Les moines ont voulut faire de moi un « Scribe », mais le papier s’avéra un fantastique combattant, qui l’emporta sans difficulté aucune sur moi. Ma patience n’allant pas à l’écriture mais bien plus à la lecture.
Mes aptitudes physique (et oui il a fallut compensé une réputation de fille manqué …) me permirent donc de travailler la voie du guerrier, mais surtout celle du travailleur, dans les jardins, les champs, à la coupe du bois ou son travail, aux cuisines, nettoyage, enfin tout ce qui nécessitait de la force et un peut d’endurance. C’est un peut « naïf » à dire mais j’appréciais ces labeurs simple et réconfortant dans leur apport à la collectivité.
J’aimais le calme de ce lieu et je pris la voie que me tracèrent les moines, à dire vrai je n’en avais pas vraiment d’autre à choisir, je les rejoignis. Je fis mes vœux sous un pal soleil d’hiver, je crois que la sérénité de ce jour sera gravée dans ma mémoire. Eternellement. Les moines ont voulut faire de moi un « Scribe », mais le papier s’avéra un fantastique combattant, qui l’emporta sans difficulté aucune sur moi. Ma patience n’allant pas à l’écriture mais bien plus à la lecture.
Mes aptitudes physique (et oui il a fallut compensé une réputation de fille manqué …) me permirent donc de travailler la voie du guerrier, mais surtout celle du travailleur, dans les jardins, les champs, à la coupe du bois ou son travail, aux cuisines, nettoyage, enfin tout ce qui nécessitait de la force et un peut d’endurance. C’est un peut « naïf » à dire mais j’appréciais ces labeurs simple et réconfortant dans leur apport à la collectivité.
Criss- Nombre de messages : 416
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Re: Tresse : "Ma vie ...
Puis je vit la plus part de mes sœurs s’enfuirent avec des jeunes caravaniers, mercenaires ou tout autre rebus de taverne qui pouvaient les emmenés loin d’ici. Je hait ces gens de passages, ils s’imaginent toujours meilleurs que les pauvres indigènes et veulent absolument sauvé les jeunes filles de leurs vertus . . . Ha que de bagarre j’ai perdu contre eux (ils sont toujours nombreux ...). C’est assurément ces turbulentes soirées à tenter de protéger le peut de dignité qui restais à la gente féminine de ma famille qui finirent de convaincre mes frères de faire de moi une arme (plus pour ma sécurité j’imagine).
Criss- Nombre de messages : 416
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Re: Tresse : "Ma vie ...
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